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Depuis 2004, révélateur de ce qui vous anime !

L'orientation scolaire et professionnelle

Une section du Blog consacrée à l’orientation centré sur l'évaluation de certaines méthodes d’orientation au gré de mes humeurs et recherches ainsi que des petits essais ou réflexions sur certains des préalables à une orientation réfléchie et de qualité centré sur l'influence et les problèmes qui y sont liés.

"Payé 25 000 euros par mois" : Attention aux annonces de nouveaux métiers prometteurs !

L'émergence de nouveaux métiers est toujours un bon moyen de créer un peu d'ébullition et d'attirer le lecteur.

Cependant, face à certaines annonces, il faut rester critique, s'interroger sur la viabilité à long terme, l'assurance de ce qui est rapporté, contextualiser et ne surtout pas tout miser sur une chimère.

Depuis 20 ans, chaque année apporte son lot de nouveaux métiers, c'est un processus inaltérable et encore plus pour les médias en recherche de contenu qui voient là un article pouvant devenir viral.

Voici un exemple : Paru dans l'édition du soir du journal Ouest France le lundi 9 septembre 2024 et accessible ici : https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/2024-09-09/paye-25-000-euro-par-mois-ce-nouveau-metier-sera-l-un-des-plus-recherches-dans-les-deux-ans-02ecf5d5-f8bc-4cb1-824a-a85a89de9db2?utm_source=pocket-newtab-fr-fr

Aujourd'hui c'est le tour du métier de Prompt engineer.

Payé 25 000 € par mois, ce nouveau métier sera l’un des plus recherchés dans les deux ans

Ça donne envie...

 

Après quelques paragraphes, ce joli montant tombe à 3000 € par mois en France, et encore dans le meilleur des cas...

On peut lire qu'en plus, pas besoin de formation ou de connaissances, il s'apprend uniquement en le pratiquant ! De mieux en mieux pour l'étudiant flemmard.

Alors évidemment que nous sommes face à un article racoleur, mais ce n'est pas si anodin.

 

Que ce soit dans le cas d'un exemple aussi flagrant que celui-ci, ou un autre, lorsque l'on s'engage sur la piste d'un nouveau métier, il faut approfondir encore plus qu'un journaliste spécialisé, et surtout, il faut également penser à un plan B que l'on poursuit en parallèle.

 

Comment se préparer avant d'aller à un salon de l'orientation ?

Si vous pensez qu'un salon de l'orientation est l'endroit idéal pour trouver l'inspiration, apaiser vos doutes et faire le bon choix de métier ou de formation pour votre avenir… détrompez-vous ! Un salon de l'orientation, c’est avant tout un vaste espace de communication où chaque école, université, ou centre de formation se présente idéalement. Les stands sont décorés avec soin, les brochures longuement optimisées, et les anciens élèves ont l’art de vous convaincre que le programme est le meilleur, le plus innovant, et bien sûr, fait pour vous !

Ne vous méprenez pas, votre orientation, c'est à vous de vous en occuper en amont, chaque établissement cherche avant tout à attirer un maximum d’étudiants dans ses rangs, surtout s’ils n'ont pas assez d’effectifs. 

Alors, avant de vous laisser emporter par ce théâtre, il est essentiel d’éviter une erreur cruciale : ne pas savoir quel métier vous voulez faire.

Une fois que vous avez choisi un métier, assister à un salon peut vous faire gagner du temps s'il se déroule à la bonne période ou si vous vous y êtes pris à l'avance, et vous apporter des éléments différents de ce que vous trouverez en ligne. N'attendez pas le jour J pour valider / mesurer l'intérêt du salon, faîtes ces préparatifs dès que possible.

Voici quelques étapes clés pour se préparer efficacement et tirer le meilleur parti de votre visite :

  1. Définir vos objectifs : Avant même de mettre les pieds dans le salon, il est essentiel de savoir ce que vous voulez y trouver. Souhaitez-vous explorer des formations spécifiques ? Rencontrer des professionnels d'un secteur particulier ? Découvrir des parcours alternatifs ? En ayant des objectifs clairs, vous pourrez mieux cibler les exposants et optimiser votre temps.

  2. Faire des recherches préalables : Consultez la liste des exposants et le programme du salon. Identifiez ceux qui correspondent à vos intérêts / critères et notez les conférences, ateliers ou présentations qui vous paraissent intéressants. En arrivant sur place avec un plan en tête, vous maximisez vos chances de repartir avec des informations pertinentes.

  3. Préparer une liste de questions : Une fois que vous avez ciblé les stands à visiter, préparez une liste de questions à poser aux représentants. Pensez à des questions spécifiques qui vous aideront à mieux comprendre les programmes, les débouchés, les critères d’admission, ou encore les particularités des formations.

  4. Apporter de quoi prendre des notes : Que ce soit un carnet, une tablette ou votre smartphone, assurez-vous d'avoir de quoi noter les informations importantes (et de les noter) ainsi que les contacts que vous pourriez obtenir. Cela vous permettra de garder une trace des échanges et de comparer les différentes options par la suite.

L’erreur principale à éviter avant la visite d'un salon de l'orientation

Alors, depuis quelques mois, vous ne savez pas quoi envisager, vous ne savez pas quel métier vous voudriez faire et encore moins quelle voie choisir !

La dernière étape sur laquelle vous comptez, comme si c’était le lieu des révélations, c’est le prochain salon étudiant dédié aux écoles et à l'orientation, l'endroit magique où, vous imaginez que les doutes s'envolent et les chemins apparaissent.

Malheureusement, un salon de l'orientation, c'est avant tout une grande foire où chaque école rivalise d'ingéniosité pour vous séduire. Ahhh tous ces gens qui vous veulent du bien, c’est beau, hein ? Des stands aux couleurs éclatantes, des slogans accrocheurs et des brochures reluisantes : bienvenue au royaume du marketing éducatif ! Ici, on ne vous aide pas vraiment à "réfléchir" ou à "trouver votre voie" et encore moins votre métier, ce n’est pas leur objectif, mais plutôt à vous convaincre que tel ou tel programme est le meilleur pour vous... 

Les enjeux financiers sont colossaux, et tout est fait pour que vous repartiez conquis – ou du moins, avec un tote bag plein de goodies, d’autocollants et de posters ! Bref, avant de vous laisser emporter par ce tourbillon de rêves et de promesses, il vaut mieux éviter une erreur fondamentale : arriver les mains dans les poches, sans avoir passé du temps à réfléchir et sans savoir ce que vous voulez faire comme métier.

Car dans un univers ou tout est possible, si vous vous laissez influencer, vous risquez de perdre un ou deux ans.

Un salon étudiant, on y va lorsque l’on a un métier clair en vue, que l’on sait quelles écoles ou formations aller interroger et l’on s’y rend bien préparé, et ce sera l’objet d’un autre article.

Atteindre le bonheur à travers la réussite professionnelle et personnelle ?

Nous pouvons lire bien souvent dans les articles sur le sujet, une approche assez simpliste et notamment dans les sphères entrepreneuriales ou les domaines dont le sujet principal est la carrière, que la clé du bonheur, en gros, c’est la réussite.

Nous pourrions en rester là, comme la plupart s’en satisfont, mais si l’on s’attarde un tant soit peu sur la question, il y a certains liens logiques qui étonnent et d’autres qui posent question. Et puis il y a également quelque chose d’insidieux, reléguant donc toute une partie de la population à ne pas pouvoir y accéder, du moins selon une certaine élite qui ne conçoit la réussite que matérielle et par des signes extérieurs de richesse qu’il est bon d’afficher. Pourquoi pas en effet, mais la question me semble bien plus large et surtout bien plus individualisée et intériorisée.

Alors pour explorer ces liens, nous pouvons imaginer qu’il faudrait déjà définir les concepts de bonheur et de réussite et y compris aborder et associer les concepts de satisfaction et de perception. Mais une simple définition de ces termes ne nous sera ici d’aucune aide puisque c’est la relation entre ces concepts qu’il est nécessaire d’appréhender, pas leur définition basique que l’on trouve dans le dictionnaire et dont tout le monde se fait une vague idée.

Et on ne peut dissocier l’état d’esprit, l’angle sous lequel on se représente quelque chose, un état de fait, un accomplissement et la nature même des représentations que l’on en a, déjà pour commencer. Votre perception d’une même chose peut radicalement changer si vous êtes triste ou dans un moment d’enchantement.

Un même accomplissement ou objectif sera satisfaisant pour l’un et désuet pour l’autre.

La relation entre réussite et bonheur est complexe, particulièrement pour les HPI, qui sont d’éternels insatisfaits, ou plutôt qui naviguent entre la satisfaction et l’insatisfaction à la manière d’une courbe sinusoïdale et ceci parfois pour un même accomplissement !

Alors que la société nous programme à associer la réussite professionnelle avec le bonheur, la réalité est évidemment plus complexe.

Et en guise de réponse qui n’en n’est pas une, car il paraît évident qu’il n’y a aucune réponse universelle, mais que tout cela repose sur une construction individuelle, l'étude menée par l'Université d’Harvard, qui a suivi des adultes sur plus de 75 ans, révèle que le bonheur est étroitement lié au sentiment de progression vers des objectifs personnels. Cette idée résonne avec l’idée que le bonheur peut être une conséquence de la réussite perçue, à condition que cette réussite soit alignée avec des objectifs et des aspirations profondes.

Vous n’allez pas me dire que vous ne faites pas le parallèle avec le coaching ?

Je ne vais pas aller jusqu’à penser que le coaching est un générateur de bonheur mais ce n’est pas totalement insensé de le formuler sous forme de question ouverte.

Cependant, la recherche incessante de nouveaux objectifs et de perfection peut aussi être une source de stress et d'insatisfaction, suggérant que la réussite, telle qu’on en a élaboré les liens et les enjeux, nait d’un équilibre délicat y compris émotionnel, qui fait intervenir bien d’autres paramètres personnels et qu’elle n'est pas toujours synonyme de bonheur.

Ennui et stimulation intellectuelle : épouvantail au sentiment de réussite ?

Une des composantes les plus fréquentes chez les HPI dans le monde professionnel est la gestion de l’ennui. Mais pas seulement, car c’est aussi le cas des multipotentiels. Alors évidemment, je parle ici d’un ennui qui serait handicapant, insupportable et terriblement pesant, là où la plupart des gens ressentiraient de l’ennui, mais s’en accommoderaient tant bien que mal, en se disant rationnellement des choses de l’ordre de « le travail ne peut pas être tous les jours amusant », ou « ça ira mieux demain », bref ceux qui foncent dans l’acceptation. 

En raison de leur capacité à apprendre rapidement et à résoudre des problèmes complexes, les HPI peuvent se retrouver à maîtriser les tâches qui leur sont confiées bien plus rapidement que leurs collègues, à faire le tour d’une activité en quelques jours, voire quelques heures. Une fois ce stade atteint, ils peuvent rapidement perdre leur intérêt pour le travail, ce qui mène à un sentiment d’ennui profond et persistant, obnubilant.

Cet ennui peut être un véritable obstacle à la réussite professionnelle et influencer les perceptions de ses possibles. Dans un environnement où les défis intellectuels sont rares, le HPI peut se sentir sous-exploité, ce qui peut le conduire à une perte de motivation et à une recherche constante de nouvelles opportunités professionnelles.

La stimulation intellectuelle est donc essentielle, non seulement pour maintenir leur intérêt, mais aussi pour se sentir accomplis dans leur travail. La réussite professionnelle, pour un HPI, pourrait donc se définir par la capacité à trouver des challenges engageants et stimulants et à voir et accepter les petites réussites significatives du quotidien lorsque la « big picture » manque cruellement.

Comment envisager et visualiser SA réussite ?

Qu’est-ce que cela signifie vraiment de réussir ? Est-ce que la réussite se mesure uniquement à travers les accomplissements tangibles ? Ceux qui permettent aussi un certain train de vie ? Ou bien est-elle plus subtile, profondément ancrée dans ce que vous ressentez à chaque étape de votre parcours ? A la perception que vous en avez ? Les perceptions sont-elles contrôlables et dans quel but ?

En quoi cette réflexion peut vous permettre de réétalonner vos perspectives, mais surtout vos critères de choix ?

L’objectif ici n’est pas de proposer une réponse toute faite et péremptoire mais plutôt d’engager une analyse et un questionnement en chacun. Le contexte est de s’interroger sur la réussite professionnelle en la dissociant du tout qu’elle représente avec la réussite personnelle, qui nécessiterai une exploration beaucoup plus pointue.

Peut-être vous êtes-vous déjà demandé ce qui, dans votre vie, vous permet ou vous permettra de vous dire : « Oui, j’ai réussi. » ou tout autre phrase du même ordre. Est-ce ce moment où vous atteignez un objectif, où vous réalisez un projet qui vous tenait à cœur ? Ou est-ce le sentiment de satisfaction intérieure qui émerge lorsque vous savez que ce que vous avez accompli a du sens pour vous ? ou autre chose…

Parce qu’il faut bien avouer que beaucoup de gens très bien intentionnés ont tous une idée de ce qu’est la réussite et ils veulent nous en convaincre, il est donc primordial de favoriser une pensée critique sur ce sujet.

Peut-on seulement considérer que la réussite est un concept universel ? Qu’il est détaché des valeurs personnelles de l’individu ?

Revenons à la question des indicateurs extérieurs de réussite, ceux que la société valorise : une carrière florissante, des possessions matérielles que l’on peut exhiber, la reconnaissance de ses pairs, etc (liste non exaustive). Sont-ils des mesures suffisantes de votre réussite ? Ou bien sentez-vous parfois que, même avec tous ces marqueurs de réussite, il manquerait ou manque quelque chose, un élément intangible qui échappe à ces critères visibles ?

Peut-être que la réussite ne se trouve pas uniquement dans ce que l’on fait, mais dans la manière dont on vit ce que l’on fait. Est-ce que vous vous sentez accompli lorsque vous atteignez un but, ou est-ce la quête elle-même qui vous nourrit, qui vous donne ce sentiment d’être sur la bonne voie ? La réussite, est-ce alors un état de conscience et de réalisation à atteindre, ou un voyage perpétuel qui s’échappe à mesure qu’on pense l’atteindre ?

La reconnaissance extérieure est-elle nécessaire pour valider ce sentiment, ou votre propre perception suffit-elle à vous donner ce sentiment d’accomplissement ?

Comment pouvez-vous travailler sur vos perceptions ?
Travailler sur ses perceptions c’est simple, c’est le fait de voir le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide.

Quel avantage pourriez-vous en tirer ?

Envisager sa réussite, c’est peut-être aussi accepter que celle-ci ne se conforme pas toujours aux normes, l’envisager en dehors de tout cadre imposé, qu’elle est avant tout une question personnelle, un dialogue intérieur entre vos aspirations, vos émotions, vos valeurs et la manière dont vous percevez vos propres accomplissements. Et en ce sens, est-ce une sensation, une intuition peut-être, un sentiment intime que vous seul pouvez vraiment comprendre, qui vous murmure que, malgré les défis et les doutes, vous avez trouvé ce qui compte vraiment et l’avez réalisé ?

En fin de compte, se créer un plan de réussite, c’est peut-être un leurre. Ce qui vous empêche parfois, au moment de définir un métier, de plonger dans une invitation à explorer ce qui, au plus profond de vous, définit ce sentiment d’avoir réussi. 

Métier : pour les surdoués (HPI) avec quoi doit être associé le besoin de sens ?

Nous l’avons vu dans un autre article, le besoin de sens au travail n’est évidemment pas un critère spécifique au surdoué, comme on vous l’assène.

Le sens n’est qu’une infime partie de votre besoin.

Beaucoup de surdoués fonctionnent à l’envie (et cela ne leur est d’ailleurs pas spécifique) qui est un moteur essentiel.

En revanche, il y a quelque chose de fondamental qui est véritablement spécifique aux surdoués : à l’émotion.

Vous avez besoin d’émotions pour ressentir chaque réussite, même minime. Un frisson, quelque chose qui en un instant vous transporte, même s’il est fugace.

Vous avez besoin de cette montée d’adrénaline liée à cet accomplissement particulier et qui n’arrive que rarement.

Idéalement, vous en avez besoin régulièrement. Et je ne suis pas la dans la prescription mais dans la description. Enfin cela dit, raisonnez, ou testez et vous verrez si cette prescription fait sens justement.

Et j’en arrive à la question du sens, car le triptique quasi magique pour le surdoué dans son quotidien, que ce soit au travil ou ailleurs se compose ainsi selon moi :

Sens + Envie + Émotion

Bien sûr, vous pouvez analyser ce besoin, cette ressource.

Attention on est bien dans le contexte du travail, qu’il soit rémunéré ou pas, qu’il s’agisse d’avoir réussi un bricolage compliqué et nouveau, ou de trouver l’idée qui fait prendre une toute nouvelle perspective à un projet.

Cette émotion liée à l’accomplissement provient de quoi en vous ? Elle est la conjonction de quoi ?

Pour vous aider et vous mettre sur la piste pour votre propre introspection nous pouvons utiliser un approfondissement contextualisé :

-       Est-elle liée à une autre valeur comme le fait de réparer une injustice ?

-       Est-elle simplement liée à un lâcher prise, comme dans un sport ou l’on ne pense plus, ou l’on débranche suffisamment le cerveau pour pouvoir souffler, ou encore lorsque l'on arrive enfin à obtenir un certain résultat, faire une certaine performance ?

Je vous laisse poursuivre…

Orientation : Le supposé besoin de sens des surdoués (HPI)

On lit partout dans la littérature ou dans les blogs mais aussi dans les podcasts que le surdoué est en recherche perpétuelle de sens, qu’il en a besoin, etc. C’est littéralement la prescription qui vous est faite par tous les pseudos experts, si jamais vous n'étiez pas au courant, le sens au travail vous donnera enfin l’esprit libre et vous deviendrez épanoui ! Je ne vais pas reprendre toutes les formules bien senties, mais vous voyez….

Quelque chose m’échappe, qu’est-ce qui, dans ce besoin que l’on a explicité pour vous, ou dans cette prescription, est véritablement spécifique aux surdoués ?

Il n’y a que les surdoués qui aient besoin d’un travail qui ait du sens ?

C’est d’une absurdité sans nom, tout le monde recherche du sens dans son travail depuis bien longtemps déjà. Demandez donc à n’importe quel collègue autour de vous ?

Et si l’on élargit la question, pour ne pas la limiter au seul contexte de l’orientation, et que l'on se penche, non pas sur le besoin, mais sur la question du sens chez l'homme de façon plus globale. On se rend compte, en étudiant les processus à l'oeuvre dans les perceptions, que la création de sens est un processus incontrôlable et immuable du cerveau. L’être humain crée du sens à chaque instant, du monde qui l’entoure, qu’il soit surdoué ou pas. 

Un exemple tiré de la vie quotidienne, vous recevez un texto de votre enfant qui vous écrit : « Je rentre bientôt ». Vous allez immédiatement penser à : où il est, où il dit rentrer. Et ensuite vous allez probablement vous demander à quelle heure, puisque ce n’est pas précisé et éventuellement s’il sera seul ou pas (en fonction du contexte …).
Au-delà de toute question d’analyse de la communication et des inférences, vous cherchez le sens et vous créez du sens.

Non le sens au / dans le travail n’est pas un besoin particulier des surdoués, par contre, ils ont d’autres besoins qui eux sont spécifiques et cela fera l’objet d’un autre article.

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